La description
Quand en novembre de 2001 Åsne Seierstad arrive à Kaboul, la première personne qu'il rencontre est le libraire Sultan Khan. C'est un vendeur compétent et un bon causeur: "D'abord, les communistes ont brûlé mes livres, puis les moudjahidines ont rasé ma boutique, finalement les talibans les ont encore brûlés pour moi". un jour, le libraire l'invite à dîner chez lui, et le présente à sa famille. Les hommes rient, ils racontent des anecdotes et plaisantent, mais les femmes parlent peu. Lors de sa coexistence avec cette famille, Åsne Seierstad est un témoignage direct des interdits amoureux, des mariages de complaisance, de crimes et de révoltes silencieuses de femmes qui se sentent encore condamnées à « manger de la poussière ».Åsne Seierstad, à seulement trente-deux ans, elle est l'une des correspondantes de guerre les plus jeunes et les plus appréciées d'Europe: pour ses reportages du Kosovo, Tchétchénie et Afghanistan, a reçu de nombreuses reconnaissances nationales et internationales, dont le prix du meilleur journaliste de la télévision norvégienne 1999, au meilleur écrivain de 2000 décerné par le magazine Elle et le prestigieux Free Speech Award au meilleur reporter de guerre. Le comptable de Kaboul (éditions 62) il a été traduit dans une douzaine de langues et a été choisi comme livre de l'année, récompensé par le Prix des libraires norvégiens.
Avis
Il n'y a pas encore de critiques.